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De tout, de rien, de moi...
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6 septembre 2009

Fan fiction HP officiellement^^!

Enfin! J'ai édité mon premier chapitre sur HPFanfiction!!! Et j'ai continué de taper la suite >> la voici!

Chapitre 2 : Une lettre des plus étranges


C'est dans une chaude fin d'après-midi, au numéro 4, Privet Drive, qu'une dispute avait éclaté. Harry Potter n'avait pas fait attention à sa chouette Hedwige qui s'était échappée de sa cage. Elle était entrée dans le salon de l'oncle Vernon et de la tante Pétunia qui le privèrent de dîner. Comme  un jeu pour eux, cela leur était très habituel.

Les Dursley n'aimaient pas les gens de l'espèce de Harry ; en fait, ils haïssaient totalement les sorciers. Mais le garçon s'en moquait car ce soir, il allait avoir quatorze ans. Il s'assit sur son lit mais à peine avait-il ouvert son livre « Le Quidditch à travers les âges » de Kennilworthy Whisp, qu'un cri aigu retentit pour la deuxième fois dans la soirée du salon au rez-de-chaussée.

Harry redescendit rapidement les marches de l'escalier et la première chose qu'il aperçu d'anormal fut une lettre plutôt sale, aux mains dodues de son oncle fou de rage. Elle s'agitait violemment comme si elle voulait être à tout prix ouverte. La tante Pétunia, blanche de peur et à moitié évanouie, était assise sur le sofa à côté de son fils unique, Dudley. Ce garçon que détestait Harry (si on peut appeler ce gros porc aux cheveux blonds : « un garçon »), tremblait comme une feuille morte.

L'oncle Vernon était cramoisie, il brandit la lettre sur Harry et s'égosilla : « La prochaine fois que tu vois un de tes amis bizarres, tu leurs diras : PAS DE CETTE CH...CHOSE CHEZ MOI !!!

-Cette chose à un nom et c'est une lettre enchantée, répondit ironiquement Harry. Il examina l'enveloppe et ne reconnu pas l'écriture parce qu'elle était très maniérée...

-Et d'ailleurs, répliqua aussitôt Harry, il ne s'agit pas d'un de mes amis.

-File dans ta chambre... je ne veux plus te voir.

Harry arracha la lettre des grosses mains de son oncle et repartit comme si de rien était, laissant l'oncle Vernon vociférer des insultes à son égard.

Lorsqu'il entra dans sa chambre, il fut surpris de voir celle-ci remplie d'hiboux qui se battaient les quelques graines restantes normalement destinées à Hedwige. Parmi elles, il reconnu la petite chouette que son parrain, Sirius Black, avait offert à son meilleur ami, Ron Weasley. La chouette portait avec difficulté une lettre qu'il prit et qu'il lut.

Salut Harry, Joyeux Anniv' !

J'espère que ton oncle et ta tante n'ont pas été trop méchants avec toi aujourd'hui. Maman va te préparer des gâteaux que je te donnerais dans le train. Moi, je t'achèterais un truc à Préaulard. A bientôt.

Ron

P.S. : Coquecigrue, c'est la chouette que Sirius m'a offerte cet été, tu t'en souviens? Donc, Coquecigrue doit être super fatiguée, tu peux t'en occuper? Merci.

Harry regarda la minuscule chouette qui volait au dessus de sa tête en poussant des cris stridents mais, heureusement pour lui, assez faibles pour que les Dursley ne remarque rien et il murmura : « Salut Coquecigrue! »

Il se retourna vers une chouette qui était étrangement couchée sur son lit. Elle était orange et poussait un hululement qui n'avait rien d'un cris d'hiboux naturel. En fait c'était plus un miaulement au début et ça finissait en hululement ordinaire. Soudain, il se rendit compte une vraie  chouette mais un chant et plus précisément... « Pattenrond ? ! ? ». C'était bien lui, on pouvait voire ses moustaches et ses yeux perçants... Harry n'en croyait pas ses yeux, décidément, Hermione Granger, sa meilleure amie, était vraiment la plus brillante des sorcières.

Cher Harry,

Je te souhaite de tout mon cœur un joyeux anniversaire et plein de bonheur ! Je suis pressée de te revoir et de reprendre les cours ainsi que d'étudier le sortilège de catapulte, la potion de mutisme ou encore la formule « Miscibilatum ». Ci-joint, un cadeau tu vas, je l'espère, adorer. Je t'embrasse fort. A très bientôt.

Hermione

P.S. : Je pense que tu l'auras remarqué : en fin de troisième année, j'ai métamorphosé Pattenrond en chouette pour pouvoir vous écrire, Ron et toi, pendant les grandes vacances, bonne idée, non ?

Harry s'empressa d'ouvrir son paquet et fut surpris de voire une mallette de bois d'ébène gravée en haut à droite, en belles d'or : « The Fantastic and Magic Word of Quidditch ». Il l'ouvrit et découvrit un stade miniature de son sport préféré. Les six anneaux, à droite et à gauche, projetaient une douce et chaude lumière ; les deux équipes, l'une rouge et l'autre verte, commencèrent à jouer. Sur le côté de la valisette, se trouvait un petit tiroir, un petit trou comme une tirelire et un écran pour le score. Le petit trou était en fait créé pour récolter l'argent qu'on pariait avec ses amis pour deviner qu'elle était l'équipe gagnante.

Une petite étiquette au fond du tiroir portait les inscriptions suivantes : « Pour une raison de sécurité anti-moldu, le jeu s'arrête et la valise se referme automatiquement dès qu'il détecte un moldu entrain de regarder le jeu. Avec les compliments au créateur de ce jeu splendide de K. Whisp, auteur du « Quidditch à travers les âges » et du Ministère de la Magie. »

Harry contempla le jeu avec admiration, il l'adorait. L'équipe verte venait de marquer quand il aperçut une chouette aux multiples couleurs, entrer par la fenêtre, ouverte à cause de de la chaleur, et qui avait causé un grand vacarme parmi les autres. Il n'avait jamais vu une chouette de cette espèce. Elle avait de longues plumes aux couleurs de l'arc-en-ciel et une forte ressemblance avec un phénix. Il prit la lettre cachée par le plumage et sourit : son parrain lui avait écrit après deux longs mois de vacances sans nouvelles de lui.

Mon cher Harry,

Joyeux anniversaire !

Je suis très loin et conscient que tu t'inquiètes pour moi. Je tiens aussi à te demander pardon : j'ai bien reçu tes lettres mais je n'ai pas pu t'en envoyer ( faute de temps et de sécurité). J'ai rencontré une charmante personne très gentille qui prend soin de moi et qui est très liée à Dumbledore. Et si il y a quoi que ce soit qui ne va pas, Dumbledore sera avertit.

Bien à toi, ton parrain Sirius.

P.S. : J'ai posé une petite somme pour toi à Gringotts, tu t'achèteras ce que tu voudras avec.

Harry relut la lettre deux fois et se demanda qui pouvait bien être cette « personne charmante », peut-être son ancien professeur de défense contre les forces du mal, la professeur Lupin ? Harry ne savait qu'en penser, après tout, son parrain et Lupin avaient été de bons amis...

« Aïe!!! »

Harry avait senti un pincement au niveau de sa main, une chouette de Tengmalm venait de lui mordre son pouce, sûrement parce qu'il n'avait pas encore pris le courrier que lui tendait celle-ci.

Bon Anniversaire Harry,

Tu es devenus grand maintenant, quatorze ans est l'âge idéal pour impressionner les filles. Je dois aussi t'annoncer une bonne  et une mauvaise nouvelle : Je commence par la bonne : Dumbledore veut bien que je reste professeur à Poudlard ; et la mauvaise : mon dernier vipergale est mort, dommage, je voulais vous faire un cours sur eux. Bonne fin de vacances et à la rentrée!

Hagrid

Lorsque la dernière chouette fut partit, Harry s'assit et fixa le jeu de Quidditch. Il se rendit compte qu'il avait totalement oublié la lettre qui tremblait. Il l'examina et se posa plein de questions à propos de l'auteur. Lorsqu'il la prit elle s'immobilisa aussitôt.

Cher Harry Potter,

Je n'ai jamais eu le courage de t'écrire jusqu'à maintenant. Je n'ai pas beaucoup de temps alors je vais à l'essentiel : je vais bientôt te voir et j'en suis réellement touchée mais je ne peut encore rien affirmer. Il faut aussi que je te dise que je suis...

Et deux grosses tâches d'encre s'étalait sur la feuille. Harry pensa qu'il s'agissait d'une farce. Ou alors, serait-ce une menace de mort?

Chap_2

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